Pour célébrer les 50 ans de la fondation de Konami, trois compilations de jeux ont été annoncées par l’éditeur : Arcade Classics Anniversary Collection (prévue pour le 18 avril 2019), Castlevania Anniversary Collection, et Contra Anniversary Collection (prévue pour le début de l’été 2019). Vous l’aurez peut-être déjà compris, la collection Castlevania est disponible dès aujourd’hui sur l’eShop de la Nintendo Switch.
On ne présente plus la célèbre série Castlevania qui, de par sa popularité, a donné son nom au genre de jeu metroidvania (également inspiré du style de la série Metroid). Cette franchise qui fait partie des plus vendues de tous les temps débarque donc sur Switch dans une lourde collection dématérialisée regroupant pas moins de huit jeux sortis sur différentes consoles: Castlevania (NES), Castlevania II (NES), Castlevania III (NES), Super Castlevania IV (Super Nintendo), Castlevania: The Adventure (Game Boy), Castlevania II: Belmont’s Revenge (Game Boy), Castlevania: Bloodlines (Genesis), et Kid Dracula (NES) au prix de 19€99 sur l’eShop. Différents trophées à débloquer seront présents au fil de l’histoire, récemment adaptée en anime sur Netflix, des chasseurs de vampires du clan Belmont et de leur Némésis le fameux comte Dracula.
Pour ceux qui désirent en savoir plus sur les aventures de la famille Belmont, un ebook gratuit intitulé The History of Castlevania: Book of the Crescent Moon est inclus dans ce pack. Sur les screenshots présents sur le site web officiel de Konami on peut observer entre autres des pages retraçant la chronologie des jeux de la série, une discussion avec Michiru Yamane en charge de la composition musicale, une interview des auteurs sur plusieurs questions différentes mais aussi des schémas de cartes ou des propositions de chara-design.
De par une forte pression de fans de la première heure, Konami prépare la sortie des versions japonaises dans une future mise à jour gratuite qui devrait arriver rapidement, de quoi ravir les plus puristes d’entre nous. Ce ne sera bien sûr pas une simple différence de langage mais tout un système de jeu alternatif autant par la représentation du sang, très limitée chez nos amis orientaux, mais aussi par exemple dans le positionnement des ennemis, la difficulté ou encore la bande audio : c’est donc une expérience de jeu totalement revisitée qui s’offre à nous.