Nous y voilà enfin ! Quelques mois seulement après la sortie des opus remake 4G Diamant et Perle, la saga Pokémon revient en force avec un épisode inédit et qui veut casser les codes bien établis de la série. Intitulé Légendes Pokémon : Arceus, ce nouvel opus promet de plonger le joueur dans des contrées anciennes, à une époque où les Pokémon sont encore très sauvages et inconnus des humains. Mais au delà de ça, Légendes Pokémon : Arceus a beaucoup fait parler par son choix de gameplay radicalement différent du gameplay historique des épisodes principaux, qui jusqu’à lors variait très peu. Alors ? Que vaut ce tout nouvel épisode, et est-il vraiment la révolution annoncée ?
Hisui, un monde Pokémon à explorer
Dans Légendes Pokémon : Arceus, vous évoluez dans une région vaste et colorée appelée Hisui (qui est en fait l’ancien nom de Sinnoh). Au menu, comme à l’accoutumée : des montagnes, des plaines, des lacs, des volcans… de quoi vous en mettre plein la vue. Mais ce qui frappe, au delà de cette diversité, c’est l’immensité des régions que vous devrez explorer. De longs espaces ponctués d’arbres, des brins d’herbe à foison, des reliefs disséminés ici et là… tout ça n’est pas sans rappeler un certain Breath of the Wild non ? Bien vu, vous visez dans le mille (comment ça vous n’avez rien dit ?). Légendes Pokémon : Arceus est, au moins aux premiers abords, une transposition de la découverte de la nature à la sauce Breath of the Wild, mais dans le monde de Pokémon. Et rien qu’en ce sens déjà, on peut dire que c’est une réussite. Vous ressentirez très vite la sensation de liberté si propre à Breath of the Wild, avec plusieurs éléments assez distincts : des musiques très peu présentes, une interface allégée, ou encore une totale liberté de mouvements (notamment les divers reliefs qu’il est possible de franchir simplement à pied). Alors oui, l’inspiration est très nette et très assumée, mais une copie d’un chef d’oeuvre ne donne jamais un jeu vraiment mauvais. Légendes Pokémon : Arceus part de cette base très solide et étoffe, par ci par là, les décors de petits détails qui vont vous rappeler que vous êtes bien dans un jeu Pokémon.
La première chose qui vient agrémenter ce monde, et également la plus visible, ce sont bien évidemment les Pokémon. Hisui est divisé en plusieurs zones, et chacune abrite des espèces de Pokémon bien spécifiques. Un effort particulier a été fait en ce qui concerne leur localisation : en effet, les Pokémon se situent presque à chaque fois dans ce qui pourrait ressembler à leur habitat naturel. Ainsi, les Magicarpe sont dans l’eau, les Rozbouton dans les herbes, et les Cradopaud dans les marécages. Mais ce n’est pas tout ! Chaque région est sous l’effet du climat ainsi que du temps, et ces variations déterminent aussi l’apparition de certains Pokémon ou non. Par exemple, les Pokémon de type spectre seront visibles uniquement la nuit. Vous l’aurez compris : un peu à la façon des Terres Sauvages dans Pokémon Épée et Bouclier, Hisui est une vraie écosphère de Pokémon divers et variés. Mention spéciale à l’animation des Pokémon, qui rempli de vie et de cohérence tout cet univers. Compléter le Pokédex n’aura jamais été aussi fascinant que dans ce nouvel opus (nous reviendrons plus en détail sur cette partie plus loin dans le test), tant chaque créature a sa propre vie. Ici plus encore que dans les précédents jeux, vous constaterez que les Pokémon vivent par eux même, et qu’au final vous n’êtes qu’un simple observateur tentant d’interagir avec eux. Ne vous y méprenez pas, bien que vous incarnez un humain, vous êtes en minorité dans ce monde, et la nature ne perd jamais ses droits.
Au cours de vos explorations, vous pourrez également remarquer la présence d’objets à collecter, plus ou moins caractéristiques de l’univers Pokémon. Parmi eux, les baies, que vous allez pouvoir décrocher en envoyant vos créatures directement sur les arbres, ou encore des minerais ou objets à ramasser, qui vont notamment vous servir à fabriquer d’autres objets. Au delà de ça et de quelques personnages vous donnant quelques quêtes, le monde est plutôt “vide”, et ça n’est pas forcément une mauvaise chose. Légendes Pokémon : Arceus joue la carte de la nature, et de l’exploration sauvage. Ainsi, attendez-vous à être confronté la plupart du temps à des étendues remplies de Pokémon, plutôt qu’à des grandes villes avec beaucoup d’éléments. Certains seront satisfaits de cette sensation de liberté et de responsabilité incombée aux joueurs, tandis que d’autres s’ennuieront. Dès ce moment là, vous allez pouvoir savoir si oui ou non Légendes Pokémon : Arceus va vous scotcher plus d’une vingtaine d’heures. Là où ses prédécesseurs jouaient la carte de l’aventure plutôt linéaire, ce nouvel opus vous lâche dans le grand bain et vous fait découvrir une région de Hisui immense, remplie de Pokémon qui ne demandent qu’à être attrapés et de beaucoup de morceaux de verdure. Ne vous laissez pas endormir par les décors cela dit, car le danger est permanent, et il vous faudra être prêt à dégainer la Poké Ball au moindre bruit.
Des mode de combat et de capture de Pokémon totalement remaniés
Par rapport à tous les autres opus de la saga Pokémon, Légendes Pokémon : Arceus se démarque surtout par son nouveau système de capture qui change totalement le gameplay. A l’accoutumée, chaque rencontre avec un Pokémon déclenche un combat au tour par tour, et vous pouvez ensuite affaiblir et capturer le Pokémon en question. Ici, l’approche est tout autre : vous pouvez interagir avec les Pokémon à la façon d’un action-RPG (type Zelda). En vous approchant lentement d’un Pokémon, il vous suffira de le viser et de lancer votre Poké Ball pour espérer le capturer. Pour ce type d’approche donc, aucun combat ne sera lancé, mais vous pouvez maximiser vos chances de capture de différentes façons. Tout d’abord, avec le type de Poké Ball utilisée bien évidemment. Comme dans les jeux antérieurs, une Super Ball est meilleure qu’une Poké Ball, et des balls spécifiques existent afin de mieux chasser vos cibles. Mais ce n’est pas tout : Légendes Pokémon : Arceus vous propose une vraie expérience de chasse, puisque vous pouvez utiliser des appâts (qui attirent des Pokémon d’un type spécifique) ou encore des objets vous permettant de vous masquer, comme des bombes aveuglantes. Si vous êtes à court d’objets, pas de panique : vous pouvez toujours la jouer discret en vous accroupissant dans les hautes herbes afin de vous rapprocher au maximum du Pokémon ciblé. Cerise sur le gâteau : si vous jetez votre Ball tandis que le Pokémon est de dos, vous augmentez les chances de capture. Vous l’aurez compris : les techniques de capture sont nombreuses, et pour la première fois ne nécessitent pas de lancer un combat. Cela dit, dans certains cas, il faudra malgré tout passer par l’affrontement.
Quand un Pokémon vous repère, il vous foncera littéralement dessus. Oui oui, il foncera sur VOUS, et non sur votre Pokémon. Pour la première fois, votre personnage aura une sorte de “barre de vie”, qui lorsqu’elle est vide, provoquera votre évanouissement. Pas de panique, rien de dramatique, il suffira de revenir à la charge de façon plus discrète, ou bien de déclencher un combat. C’est la seconde très grosse nouveauté de cet opus : il est désormais possible de faire sortir vos Pokémon à n’importe quel moment à travers tout Hisui, en lançant la Poké Ball avec laquelle vous l’avez capturé. A partir de là, la nature de l’évènement qui va se produire va dépendre de ce que vous visez. Si votre Poké Ball ne touche que le sol, alors votre Pokémon sortira tranquillement de sa Poké Ball pour se montrer. Si elle touche un arbre ou un minerai, le Pokémon viendra récolter ces ressources. Enfin, si elle touche un Pokémon sauvage, vous déclencherez un combat. Là encore, grosse nouveauté : hormis une transition d’écran assez dynamique, il n’y a pas de changement de phase de jeu drastique lors du début d’un combat. Plus encore : vous pouvez toujours déplacer votre personnage librement lors d’un affrontement, tout en ordonnant à votre Pokémon d’attaquer. Exit donc le tour par tour statique, ici nous avons affaire à un nouveau genre de combat tour par tour beaucoup plus dynamique.
En ce qui concerne le coeur des combats, plusieurs ajustements majeurs ont été effectués. Si le système semble à priori très similaire avec ce que nous avons connus dans les précédents opus, il est en réalité assez nettement différent. Tout d’abord, le calcul des dommages se fait différemment : dès le début du jeu, vous aurez l’impression de prendre d’énormes claques de Pokémon sauvages de très bas niveaux. Ceci est du à la disparition du système classique des IV/EV, et à l’apparition d’un tout nouveau système basé sur les points d’efforts uniquement. Les détails de ce système sont, à l’heure actuelle, encore assez flous, mais le principe général est de réduire les écarts entre Pokémon haut et bas niveaux, afin de corser le challenge. Rassurez-vous, les natures sont toujours présentes, et fonctionnent de la même façon qu’auparavant (vous allez donc bien pouvoir avoir le seum quand vous choperez votre Héricendre avec un malus en attaque spé). Une autre nouveauté apportée par le jeu est le style d’attaque : chaque attaque peut être lancée de 3 façons différentes. Le style classique correspond aux attaques lancées de façon normale, comme pour les précédents opus de la saga. Le style rapide lui, vous garantit une attaque dégainée rapidement, mais avec des dégâts moindre. Cela dit, vous pourrez probablement attaquer une seconde fois avant que votre adversaire puisse bouger le petit doigt. A l’inverse, le style puissant lancera une attaque qui causera plus de dégâts, mais qui vous empêchera d’enchainer rapidement après ce coup.
J’en profite pour préciser également que les movesets (les ensemble d’attaques, qui sont limitées à 4 pour chaque Pokémon) se gèrent de façon beaucoup plus simple qu’avant : dès lors que votre Pokémon apprend une nouvelle attaque, vous allez pouvoir lui enseigner en effaçant une attaque actuelle, sans pour autant qu’il y ait de lourdes conséquences par la suite. A tout moment, vous pouvez changer le moveset de chaque Pokémon et lui réapprendre une autre attaque à la place d’une ancienne, le tout sans dépenser la moindre ressource (pas mal hein ?). Enfin, une autre différence assez notable : les statuts ont l’air d’avoir une importance accrue sur Légendes Pokémon : Arceus. La paralysie, par exemple, se déclenche beaucoup plus facilement, tandis que le sommeil lui, ne sera pas systématique. Tous ces ajustements sont en fait les composants d’un tout nouveau système de combat, qui se veut plus dynamique, et plus punitif, plus équilibré. Si vous n’accrochez pas, pas d’inquiétude, les combats n’ont jamais été aussi anecdotiques dans un jeu Pokémon, quand on voit l’importance de la capture, ainsi que le nombre d’activité annexes à effectuer.
Des activités à la pelle
Légendes Pokémon : Arceus se focalise sur la capture et sur l’exploration, c’est une évidence, et la plus belle preuve de ça est très sûrement l’importance du Pokédex. Ici, vous évoluez à une époque où les Pokémon ne sont que très peu connus par les humains (nous y reviendrons dans la partie suivante), et votre rôle est donc d’apporter un savoir concernant ces créatures. Il apparaît donc crucial de remplir le Pokédex, qui est plus que jamais une bible de savoir concernant les Pokémon. A cette occasion, Game Freak a étoffé le Pokédex de la plus belle des manières. Ici, il n’est plus question d’une simple page avec un descriptif et quelques infos sur le Pokémon. Chaque page pourra être remplie en effectuant des tâches précises, comme par exemple le combat et la capture du Pokémon, mais aussi d’autres demandes beaucoup plus spécifiques. Il sera parfois nécessaire de nourrir le Pokémon avec des baies, ou bien de capturer des espèces de différentes tailles, ou encore même de les vaincre avec une capacité d’un type précis. Chaque tâche vous donnera des points, et dès lors que vous atteignez 10 points, la page du Pokémon en question sera considérée comme “complète”. Ajoutez à ça les traditionnelles descriptions et lieux d’habitats de chaque Pokémon, et vous obtenez le Pokédex le plus alléchant de l’histoire de la saga. Pour la première fois, j’ai réellement eu envie de compléter le Pokédex, et la diversité des tâches à effectuer vous fera vous sentir comme un vrai explorateur de Hisui, usant de divers moyens pour acquérir du savoir Pokémon. Cerise sur le gâteau (oui, encore), compléter le Pokédex vous fera monter en rang, et vous donnera des bonus permanents lors de vos explorations : ce n’est donc clairement pas un objectif à négliger !
Au delà du Pokédex, qui vous occupera la majorité du temps en plus des missions principales, Légendes Pokémon : Arceus propose une pléthore de missions secondaires, apparaissant au fur et à mesure de votre aventure. Au menu, tout un tas d’activités plutôt variées : capturer des Pokémon précis bien évidemment, mais aussi des missions type “énigmes”, avec de vagues descriptions qui vous forceront à fouiller un peu (on ne triche pas, on ne regarde pas sur Internet). Rusti-cité est le centre de ces “à côté”, car c’est dans cette ville centrale que vous pourrez acheter des vêtements, planter des baies, ou encore accéder au Dojo pour entrainer vos Pokémon et leur apprendre des attaques plus puissantes. Cependant, il y a aussi de quoi faire dehors, et notamment via des évènements temporaires. Par exemple, vous pouvez trouver des objets perdus et les échanger contre des points à Rusti-cité, qui vous permettront ensuite d’obtenir des objets rares comme des objets d’évolution. Autre grosse activité à pratiquer dans les zones d’exploration à Hisui : les failles spatio-temporelles. Ces zones vous donneront la possibilité de capturer des Pokémon rares, très puissants, mais aussi d’obtenir des objets rares et difficiles à acquérir autrement. Lorsqu’une faille apparaît, n’hésitez pas à foncer dedans, car elles ne sont là que pour un certain temps et ne réapparaissent que sous certaines conditions. Vous pouvez également chasser les Pokémon Baron, qui sont des Pokémon plus puissants que la moyenne, et qui vous donneront sans aucun doute du fil à retordre. Enfin, j’aimerais clôturer cette liste d’activités non-exhaustive par la chasse aux objets cachés avec Ursaking, que j’ai trouvé très divertissante. Dans Légendes Pokémon : Arceus, vous allez pouvoir obtenir des Pokémon montures (un peu à la façon des Poké Montures à Alola) qui vous permettent de parcourir Hisui sous un nouvel angle. C’est le cas de la monture Ursaking, qui décèle des objets cachés dans les grandes zones d’Hisui. Au delà du côté assez ludique de ces chasses, c’est aussi un moyen d’obtenir des pierres d’évolution par exemple, qui peuvent être vraiment très compliquées à acquérir autrement.
Maintenant que vous avez une idée des possibilités qu’offre Légendes Pokémon : Arceus, j’aimerais parler du scénario du jeu qui, dans un opus se voulant aussi libre, essaye aussi d’attirer la curiosité du joueur si ce n’était pas déjà fait jusqu’à maintenant.
Un scénario un peu décevant ?
Dans Légendes Pokémon : Arceus, vous démarrez immédiatement en apparaissant via une faille spatio-temporelle (ce début d’aventure rappelle d’ailleurs étrangement le début de Breath of the Wild non ?). Bien que vous ne sachiez ni qui vous êtes, ni ce que vous faites là, vous savez visiblement y faire avec les Pokémon, et c’est ce qui attire l’attention du professeur Lavande, qui vous recueille dans la ville de Rusti-cité. Le décor est assez rapidement posé : Rusti-cité est le siège du Groupe Galaxie, qui vise à mieux comprendre comment les Pokémon se comportent. Il faut bien comprendre que, dans la ville, personne n’a jamais capturé de Pokémon ou presque. Votre rôle (si vous l’acceptez, et vous l’acceptez) est d’intégrer le corps des chercheurs du groupe Galaxie, et de les aider à découvrir petit à petit chaque Pokémon afin de compléter le premier Pokédex de Hisui.
Autour de ce groupe coexistent deux autres groupes : les clans Perle et Diamant, qui veulent tous deux protéger les Pokémon. Plus précisément, chaque zone de Hisui est “dirigée” par un Pokémon dit “monarque”, et les personnes de chaque clan chargées de les protéger s’appellent des gardiens. Le grand Pokémon de cet opus est évidemment Arceus, également appelé le Grand Sinnoh, et est l’objet de tout un tas de mystères que vous allez devoir élucider un à un. Si l’intrigue s’avère plutôt originale, elle passe assez rapidement au second plan, tant la sensation et le désir d’exploration surpasse une intrigue malgré tout trop commune. Pour être plus clair, l’intrigue n’est pas spécialement mauvaise, elle est même plutôt meilleure que les jeux précédents à mon goût, mais elle reste anecdotique quand on sait que l’on peut compléter le Pokédex à la force de ses mains et à dos de Cerbyllin. Nul doute que beaucoup de joueurs y trouveront satisfaction, car le scénario n’a jamais été quelque chose de crucial dans la qualité globale d’un jeu Pokémon, et ici il joue plutôt en la faveur de Légendes Pokémon : Arceus.
Et la technique ?
Enfin, j’aimerais terminer ce test par un mot, comme d’habitude, sur le plan technique. Dès les premières images du jeu, de nombreux joueurs (parmi lesquels moi-même) ont eu peur en voyant la qualité visuelle affichée. Finalement, une fois la manette en main et le jeu tournant, l’ensemble est assez joli, et n’a pas à rougir face à un Breath of the Wild. Soyons honnête : Légendes Pokémon : Arceus n’est pas une claque visuelle, et vous observerez notamment beaucoup d’aliasing, mais il s’en sort honorablement sur une machine qui commence à se faire vieille. Le jeu tourne en 1080p en résolution dynamique (c’est à dire qu’il adapte sa résolution en fonction des passages), et l’ensemble tourne à 30 fps de façon relativement stable. En mode portable, la résolution baisse en 720p comme la plupart du temps, et est aussi dynamique, ce qui permet de réguler les performances dans les parties où les éléments à afficher sont nombreux. Le framerate baisse de temps en temps, mais pas de chute dramatique, et pas de résolution scandaleusement basse non plus. Les temps de chargements entre les zones sont même très rapides, et rendent l’expérience plutôt agréable, que ça soit à l’oeil ou à la manette. En résumé : n’ayez pas peur, Légendes Pokémon : Arceus s’en sort très bien, et fait partie des jeux Switch les plus agréables à jouer en semi-monde ouvert.
Bonjour à tous pour commencer.
Je suis pas du tout d’accord avec votre 90%, pour moi il mérite un 12/20 poirquoi j’y viens.
Quand je lis qui a pas à envié zelda je crois que je dois pas avoir le même jeu désolé, Graphiquement il est horrible quand bow sortie il a 5ans et je voie ce pokemon il y a un problème les reflet violet les scintillement blanc ces pas possible en 2022 sur la switch.
Après les décors qui on au une distance d’affichage pour trouver les flammes un galère les pokemon a 2 fps ces pas possible exemple le leviator qui vole .
Il y a 4 pokemon le jeu est en pls regarder hyrule warriors ou il y a 100 à 200 monstre affiche et il ne galère pas comme ce pokemon.
Les combats de bosse que je trouve sympathique mes pourquoi ne pas avoir ajouté à la fin un combat classique histoire de dire on l’a affeblie . Les légendaire que l’on nous donne à la limite aucune difficulté à les attraper une attaque une pokeball et le tour est joué.
Ce que j’ai aimé ces les mission du pokedex amusant à faire mes captures 25 fois le même ou faire 100 fois trempette je ne vois pas l’utilité à part rallonge la durée de vie.
Mes des quete comme voir comment il ce nourrir ou ce déplacé til en troupeau ou pas aurai était bien .
Pour moi ces un développement paresseux il manque du temps de developpement il y a de très bonne idée à peaufiné mes trop de loupé.
Je suis pas un rageux plutôt un fan boy bigN .
J’ai fini le jeu passé presque 90h dessus, et je me suis bien amusez avec mes pour moi aventure s arrête pokedex fini la flemme de capturé x fois les même pokemon
Ce ci est juste mon avis
Bonne soirée à tous et bonne chasse